Informations généralesAuteurs : Chrono Nanae
Type Seinen
Genre : action, historique
Nombre de volumes : Peace Maker : 5 Volumes (terminé), Peacer Maker Kurogane : 5 volumes (en cours)
Nombre d'épisodes 24 sous le nom "Peacer Maker Kurogane" mais
Résumé/Synopsis - Citation :
Peace Maker
C'est l'histoire d'un garçon de 15 ans qui ne fait pas du tout son âge, nommé Tetsunosuké Ichimura, qui décide de devenir plus fort afin de venger ses parents. Ces derniers ont été assassinés par les extrémistes Chōchū, clan très puissant favorable à l'empereur. Il essaie alors de se faire enrôler au sein du Shinsen Gumi, puissant groupe de samouraïs surnommés « les Loups de Mibu ». L'apprentissage de Tetsu sera long et parsemé de complications puisqu'il entrera au Shinsen Gumi comme domestique.
Peace Maker Kurogane
La suite de Peace Maker, L'histoire reprend quelques années après la bataille contre Yoshida, Tetsunosuke a continué son entraînement au Shinsengumi et a promis de ne jamais tuer ! Mais il semblerait que Kitamura Suzu qui est l'ami de Tetsunosuke, veuille se venger du Shinsengumi qui a tué son maître...
Note :
Le Shinsengumi était une force de police japonaise à la fin du Shogunat Tokugawa (1853 - 1867). Le Shinsen Gumi était le dernier rempart du shogun face aux patriotes, ou Ishin Shishi. Leur nom est devenu quasi légendaire, associé à l'étendue de leur pouvoir et à la terrible efficacité d'une organisation de guerriers très compétents soumis à un code d'honneur, une série de lois, probablement parmi les règlements les plus durs de toute l'histoire de l'humanité.
Le règlement interne :
Article 1er: Il est interdit de s'écarter de la voie propre à l'humanité.
Article 2: Il est interdit de quitter le Shinsen Gumi.
Article 3: Il est interdit de collecter de l'argent en dehors du cadre du Shinsen Gumi.
Article 4: Il est interdit de se mêler de litiges ne concernant pas le Shinsen Gumi.
Article 5: Il est interdit de combattre à son propre compte.
Parmi les annexes les plus célèbres, on cite souvent :
« Kumigashira ga moshi toushi shita baaiwa, kumishuu wa sono ba de toushi subeshi. » (« Si le leader d'une unité (Jokin, Kumichu ou ensuite Fukuchu Jokin) est mortellement blessé dans un combat, tous les membres du groupe qu'il commandait doivent combattre et mourir sur place. » )
« Hageshiki kokou ni oite shishou zokushutsusutomo kumigashira no shitai no hoka wa hikishirizokukotomakarinarazu. » (« Même dans un combat où les pertes sont élevées, il est interdit de récupérer les corps des morts, excepté celui du chef du groupe. »)
Mais la plus terrifiante de toutes les annexes était celle-ci :
« Moshi taishiga koumuni yorazushite machi de taigai no mono to arasoi, teki to yaiba wo kawashi, jibunga kizu wo oite aite wo shitomekirazuni nigashita baai, ushirokizu no baai no gotokimo seppuku wo meizuru. » (« Si un membre du Shinsen Gumi combat contre un étranger au groupe, que ce soit en service ou non, s'il est blessé et ne peut pas tuer son ennemi, le laissant ainsi s'enfuir, et ce même si la blessure causée est due à une traîtrise, le membre concerné doit faire seppuku (hara kiri) »).
Il n'y avait qu'un seul châtiment pour qui enfreignait ces lois : la mort.
Parmi les membres du Shinsengumi restés dans les mémoires, on peut citer Hijikata Toshizo, Okita Souji, Kondo Isami.
Ce qui a fait rentrer le Shinsengumi dans la légende fut l'affaire Ikedaya Jiken, 5 juin 1864. Je vous renvoie à Wikipédia
Le tournant du ShinsengumiMon avisSi j'ai un peu peiné avec le graphisme du manga papier, j'ai en revanche adoré la version animée. Je suis d'ailleurs devenue une fan inconditionnelle d'Okita Souji -> Image.
Par rapport à "Hakuouki Shinsengumi Kitan", Peace Maker reste plus fidèle à l'histoire puisque Hakuouki a intégré des éléments fantastiques, ce qui n'est pas le cas de PM, si on excepte le rendu démoniaque des personnages quand ils se battent.